Deux heures de plus de gagné !

Publié le par arille

Bernadette, la gouvernante au grand coeur, est à l'hôpital pour le soigner (son coeur). Le pseudo détective cuisinier reçoit l'ordre de tuer la jolie brune blonde dont il est amoureux. Les gosses se roulent des pelles à gogo, c'est l'âge bête. Le grand brun se met avec la grande brune et la rousse avec le blond, tout est logique. La petite Louise devient une surdouée des maths et devient subitement très attirante pour les vieux profs qui cherchent à lui donner des cours particuliers. Le groupe des ados bêtes qui se roulent des pelles découvrent que Louise existait déjà en 1973, 1973 est une date qui figure le moyen âge de ce feuilleton. Louise s'appelait Rose mais c'était la même, et le chat noir existait déjà aussi. Il y avait aussi des petits enfants vieux, on ne les voit qu'en sépia, et on devine qu'on leur a fait subir des choses pas sympas. Pendant que la Bernadette se refait une petite santé son ami des bois avec un seul oeil mais beaucoup de cheveux tient compagnie dans sa grotte à Louise à qui il cueille des fleurs jaunes.

Valérie K tombe enceinte de deux jumeaux. C'est magnifique car on entend des phrases d'une grande beauté comme "pour avoir des jumeaux il faut avoir eu des jumeaux dans sa famille" ou quand elle annonce à son beau directeur qu'elle est enceinte il dit "DEUX jumeaux ?" Ben oui, répond-elle, les jumeaux ça va par deux. Grande logique puisqu'elle avait deux amants. La dessus une petite nouvelle arrive, on dirait Laeticia Casta on voit qu'elle a connu le loup et même toute la meute. Elle filme dans le couloir la directrice avec son ex amant qui lui dit : "Et comment sais-tu que je ne suis pas le père ?" Pfff dit la directrice. Mais la petite futée la fait chanter et ainsi elle peut sortir avec son "père" qui d'ailleurs est mort. Le père de la directrice lui apprend qu'elle a eu un frère jumeau qui est mort. Elle demande alors au concierge, le père du petit gros qui est mort, d'aller déterrer la tombe de son petit frère pour vérifier qu'il est bien dans sa tombe, au cas où. Notons au passage la délicatesse de la directrice qui demande à un père qui vient à peine d'enterrer son propre fils d'ouvrir la tombe d'un autre fils...
Voilà, plus que deux heures à gagner. Je crains le pire.

Publié dans propos aimables

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