Les deux dernières heures

Publié le par arille

Valérie K apprend que son petit frère mort est vivant car il n'y a personne dans le petit cercueil. le jumeau est l'homme monstrueux qui vit dans la forêt avec les fleurs jaunes, protégé par Bernadette. Malheureusement le père du petit gros mort (Mathieu) se promène avec une carabine dans la main et quand il voit le "monstre", il tire. La petite Louise pète un câble et pleure en criant papa (la pauvre délire). Valérie K veut avorter car elle ne veut pas enfanter des petits monstres comme son frère jumeau mais la jolie brune blonde lui dit que si elle le fait elle le regrettera toute sa vie. Côté ado le grand brun se fâche avec le gentil directeur et trouve un pistolet, entre dans le bureau du dirlo les yeux fermés et tire. Malheureusement, c'est la jolie brune blonde qui écrivait une lettre d'adieu qui reçoit la balle. Je vous signale donc qu'il a tiré sur sa propre mère sans le savoir. Elle agonise tranquillement en faisant des traces rouges sur la moquette blanche.

Un peu avant, le directeur s'était jeté sur la jolie brune blonde pour lui faire sans doute d'autres jumeaux.

Pendant ce temps, un vilain prof et le père de Valérie K font des expériences sur la petite Louise pour d'obscures raisons. Le vilain prof tue le père d'un coup. Nous avons donc le frère monstrueux mort, le père mort, la maman (jolie blonde brune) agonisante. Nous avons des gens qui pètent des câbles (le concièrge, la petite Louise, le jeune brun et sa copine).

Le policier cuisinier est parti ; on apprend qu'il travaillait pour une association recherchant Madame Espig (un nom comme ça ne s'invente pas) : c'est la mère des enfants orphelins et donc pas si orphelins, car il la retrouve à peine fatiguée dans une grotte où elle avait été retenue de puis des mois.

Je crains une suite.

Publié dans propos aimables

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